Vacarme musical sur l’avenue Paul-Vaillant-Couturier

Quand on parle de tolérance, il faut savoir jusqu’où celle-ci peut aller. Aussi devant le politiquement correct de certains qui, dès qu’on énonce une critique de telle ou telle communauté d’origine étrangère, y découvrent du racisme, ce qui n’est qu’une façon de nous faire taire, il ne faut plus hésiter, parlons…

Parlons d’un fait anodin, mais qui pèse et montre que le respect dû à ses voisins, en plus quand il s’agit d’une avenue entière, n’est pas entré dans les mœurs : l’avenue Paul-Vaillant- Couturier a fait s’interroger nombre de Vitriots outrés par une musique intempestive, c’est-à-dire au-delà de l’acceptable de la Gare à l’école Jean-Jaurès, par le nombre de décibels, aussi élevé qu'à la fête des Lilas. Et quand, en plus, des voitures passent tonitruantes de rap, cela conduit à se demander si notre pays possède encore le respect des autres, que nous contestent certains par provocation, et qui n’ont aucune envie de s’intégrer alors qu’iis sont souvent français.

Le son assourdissant qui se propageait dans l’avenue n’est pas le premier. L’internaute taquin demande que chacun appelle à sa conscience et à son courage, et proteste auprès de la mairie, pour refuser cette montée de l’intolérance vis-à-vis des autochtones.Nous sommes le pays d’accueil, nous n’avons pas à nous laisser imposer des modes de vie - où l’individu en tant que tel n’existe pas - qui ne sont pas les nôtres. Nos lois sont à respecter, ces dernières étant le garant de la liberté de chacun, et ceux qui doivent les faire appliquer des acteurs de son maintien.

On pourrait aussi parler de courtoisie, de politesse, de savoir-vivre, mais cela est bien compris dans la liberté.