Hier soir sur France 2

• Eva Joly : « Je suis coincée entre la gauche molle, qui ne fait rien, et la gauche folle qui promet tout ; je représente la gauche raisonnable. » « Je constate que travailler plus pour gagner plus est un échec. C'est clair que nous devons aller vers un partage du travail. Les 32 heures sont déjà en œuvre dans beaucoup d'entreprises. »

• La candidate écologiste a assuré qu'il existait des "présomptions concordantes et précises" contre Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bettencourt dont un volet porte sur des soupçons de financement politique illégal.

C'est "une anomalie de pouvoir solliciter un deuxième mandat alors que vous êtes cerné par des affaires judiciaires", a ajouté Eva Joly lors de l'émission

• Nicolas Dupont-Aignan,background: white;" lang="FR">le candidat de Debout la République, fustige ses concurrents qui « ne veulent pas de débat ». « Il y a eu trop de mensonges dans la vie politique ces dernières années », lâche-t-il avant de lancer : « Mon projet politique est sérieux, il ne s'agit pas de raser gratis. »« En 2005, la majorité des Français avaient compris l'arnaque de la mondialisation. Ma rupture, mon indépendance vient de cette volonté de rompre avec cette mauvaise Europe qui est en train de détricoter tous ce qu'ont gagné nos parents », indique-t-il.

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• François Hollande : « Pas besoin de sortir une proposition de dernière heure », assure le candidat socialiste. Selon lui, un candidat doit être « clair, cohérent, constant ».

« La Cour des comptes fera le bilan. Puis nous prendrons nos décisions. »

Déficit : "Le redressement est un préalable, la justice est une nécessité. Parmi les premières mesures que je prendrai, il y a l'annulation de l'augmentation de la TVA prévue par le candidat sortant."

Accord PS-Verts : "La répartition des circonscriptions ? Si je suis élu, ce sera le Premier ministre et le premier secrétaire du Parti socialiste qui s'en occuperont. Si je suis le prochain président, je ne m'occuperai pas de la vie des partis politiques."

• Marine Le Pen serait-elle prête à accueillir des centaines de réfugiés syriens ? Réponse : "Non, parce qu'il y a 11 millions de pauvres dans notre pays, 5 millions de chômeurs, que notre pays plonge, que notre système de protection sociale est en train de s'effondrer. Nous avons été profondément laxistes en matière d'immigration."